Réussir à se déconnecter pendant les vacances avec la sophrologie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réussir à se déconnecter pendant les vacances avec la sophrologie peut s’avérer essentiel pour relever le défi de l’intégration croissante des nouveaux outils numériques en entreprise. Cela permet d’établir une frontière nette entre vie professionnelle et vie privée.

La sophrologie offre une approche précieuse pour préserver une séparation claire entre vie professionnelle et vie personnelle, particulièrement à l’ère de l’intégration croissante des nouveaux outils numériques en entreprise.

La déconnexion pendant les vacances devient un véritable casse-tête lorsque les courriels professionnels affluent dans les boîtes mail personnelles.

Pour certains, la gestion de la correspondance professionnelle depuis un lieu de repos favorise une reprise du travail en douceur à leur retour. En contraste, pour d’autres, l’urgence d’un appel d’un collègue ne pouvant agir sans leur validation, ou les subtils encouragements de la hiérarchie à rester connecté, compliquent l’art de la déconnexion.

Néanmoins, la croyance selon laquelle la connexion permanente au travail équivaut à une meilleure efficacité s’avère illusoire. Cette situation engendre également un sentiment de culpabilité envers l’inactivité perçue, alors que d’autres continuent à œuvrer. Pourtant, cette réalité renferme des aspects négatifs bien plus profonds.

Réussir à se déconnecter pendant les vacances avec la sophrologie pour la santé 

Selon le psychiatre Patrick Légeron, notre cerveau a besoin de déconnexions régulières. Malheureusement les médecins constatent que de nombreux managers sont dans l’incapacité croissante à débrancher. De même, dans la sphère privée, il est presque naturel de dégainer son téléphone  à tous moment. Consulter les réseaux sociaux, ses photos, ses comptes bancaires, ses messages sont des activités permanentes. Ainsi, cette tendance à ne pas réussir à se déconnecter pendant les vacances révèle une dépendance comportementale. Celle-ci serait en lien avec la sécrétion d’un neurotransmetteur au niveau du cerveau, la dopamine. Elle est peut-être l’un des vecteurs responsable de notre addiction. D’autre part, il semble que le numérique altère les facultés de mémorisation, particulièrement sur la mémoire de long terme, celle du stockage. L’accessibilité de l’information partout annule la nécessité d’apprendre et de mémoriser.

Le droit à la déconnexion

Force est de constater que le lieu de travail n’existe plus dans bien des secteurs. En conséquence, les salariés sont de plus en plus « connectés » en dehors des heures de bureau et pendant leurs vacances. Depuis le 1er janvier 2017, les entreprises pourvues d’un délégué syndical dans leur effectif ont l’obligation d’autoriser les salariés à exercer leur droit à la déconnexion. Il s’agit  donc du droit à ne pas répondre à ses mails, appels et messages reçus en dehors des heures habituelles de travail. Cette loi répond à un vrai problème de santé publique. La culture de l’urgence nous fait perdre la mesure des choses et peut, à force d’être ultra réactif, perturber le sommeil, l’attention et être source de stress.

Comment se déconnecter ?

Pourtant, avant l’ère numérique, les congés  annuels marquaient une vraie coupure avec le travail. De nos jours, se déconnecter pour lâcher prise devient un apprentissage et une discipline. Voici quelques idées pour recadrer son rapport aux objets connectés :

  • Dresser une liste des tâches à terminer avant votre départ, les personnes à prévenir, les tâches à déléguer, les dossiers à distribuer.
  • Laisser son téléphone professionnel chez soi et enregistrer un message d’absence ou bien laisser un numéro pour les urgences.
  • Déconnecter sa boîte mail professionnelle sur son smartphone.
  • Fixer des plages horaires de travail et les respecter.
  • Se désabonner des notifications.
  • Mettre son téléphone le plus souvent possible en mode avion si vous n’en avez pas l’utilité.
  • Se consacrer à des activités qui demandent un investissement total  (une partie de ballon, une promenade en vélo, jouer avec ses enfants, faire une visite de château, cuisiner , lire un sujet qui passionne).

Se reconnecter au monde et à soi par  la sophrologie

Dès lors, il est important de réussir à se déconnecter pendant les vacances pour mieux se reconnecter au monde et à soi-même. La sophrologie offre des outils pour se recontacter à soi par la respiration alliée à certains mouvements. Elle permet de percevoir de manière fine ses sensations corporelles. C’est prêter attention à ce qui se passe en soi, créer un silence intérieur et mettre le mental au repos. De ce fait ses relations avec son entourage familiale se trouvent améliorées. En quelques séances de sophrologie vous êtes plus en relation avec vous-même et votre environnement , vous profitez pleinement de vos vacances.